Le capitaine de la place fut interné comme prisonnier de guerre en Allemagne pour avoir continué le combat après l’armistice de la défaite le 22 juin '40. Lui et sa troupe seront fait prisonniers le 3 juillet et déportés.
L’officier allemand qui signa sa reddition considera que celui-ci avait refusé la défaite et poursuivi le combat par-delà l’armistice alors qu’en réalité le capitaine a attendu un ordre de reddition de sa hiérarchie qui n’est jamais venu, alors qu’ils avaient connaissance de l’armistice depuis le 25 juin.
Le drapeau français aura donc flotté glorieusement au-dessus… d’une bande de troufions qui savaient que c’était foutu et attendaient les ordres.
Dans la mémoire de la débâcle de la défaite de la France face à l’envahisseur, cet épisode est toutefois resté comme héroïque, l’exemple d’une résistance contre Vichy avant même Vichy.
Le capitaine de la place fut interné comme prisonnier de guerre en Allemagne pour avoir continué le combat après l’armistice de la défaite le 22 juin '40. Lui et sa troupe seront fait prisonniers le 3 juillet et déportés.
L’officier allemand qui signa sa reddition considera que celui-ci avait refusé la défaite et poursuivi le combat par-delà l’armistice alors qu’en réalité le capitaine a attendu un ordre de reddition de sa hiérarchie qui n’est jamais venu, alors qu’ils avaient connaissance de l’armistice depuis le 25 juin.
Le drapeau français aura donc flotté glorieusement au-dessus… d’une bande de troufions qui savaient que c’était foutu et attendaient les ordres.
Dans la mémoire de la débâcle de la défaite de la France face à l’envahisseur, cet épisode est toutefois resté comme héroïque, l’exemple d’une résistance contre Vichy avant même Vichy.