Il est possible d’imaginer de nouveaux espaces politiques, plus ancrés et plus habités. Des territoires découpés « non par la législature mais par la nature ». C’est ce que propose la théorie biorégionaliste. Ses tenants rappellent que la question écologique est une affaire d’échelle et de sensibilité au vivant.
Au lendemain du premier tour des élections régionales, le constat est sans appel. Cet échelon administratif et politique n’intéresse plus grand monde. Près de deux tiers des Français et des (...)
Je ne prétend pas que c’est la solution, mais s’intéresser à d’autres principes ça peut permettre de changer de point de vue et de voir des choses qu’on ne voyait pas autrement. Après, comme l’a dit @[email protected] dans son commentaire, il y a d’autres choses à prendre en compte également. Ça peut avoir du sens dans certains cas, et pas dans d’autres.
Et puis le sujet de la commu c’est Solarpunk, les sujets ici servent à stimuler l’imagination, c’est important aussi. Un des thèmes principaux dans le solarpunk c’est une meilleure adaptation à l’environnement. Quitte à tout réimaginer pourquoi ne pas considérer les bassins versants comme une proposition intéresante dans ce sens-là ?
Je suis désolé mon commentaire était un peu négatif, j’avais pas vu où on était ^_^;
D’une façon générale, je pense que c’est important de se rappeler qu’une région, ça restera une création humaine artificielle, même si on la base sur un critère “naturel”. On fait les régions administratives en fonction des peuplements humains, c’est normal. Les ornithologues ont les leurs, les microbiologistes en ont d’autres.
On est à une époque où les cartes, on les regarde surtout sur des engins informatiques, du coup, je trouve qu’il faut pas avoir peur de rajouter des layers et des affichages dynamiques. Peut être qu’aujourd’hui on parle de planter des tomates et que je veux vois l’acidité des sols, les jours de gel et les précipitations moyennes pour comprendre pourquoi elles poussent chez moi et pas chez ma mère. “Ah ok, le pays de la tomate à planter en mars, ça s’arrête à Voiron. Compris”